Rosalie Vernelier (uc)

Bonjour ! je me suis inscrite il y a longtemps mais ce forum était comme mort, il n'y avait plus personne d'actif. Je suis surprise & à la fois heureuse que ça reprenne ^^

• Nom: Vernelier
  
• Prénom: Rosalie, Rose, Marie.
  
• Age: 10 ans
  
• Classe: Classe des rouges.
  
• Histoire de votre Colombe:
  
  Je me permets de rajouter trois rubriques si cela ne vous dérange pas ^^
• Caractère:
  
• Apparence physique:
  
• Famille: La famille de Rosalie était assez grande. Elle avait beaucoup de frères, pas beaucoup de sœurs, et un cousin qu’elle ne vit point souvent. Mlle Vernelier ne connût pas tous les membres de cette famille. Elle était la petite dernière. Tous les autres étaient assez âgés. Plus âgés pour faire parti de la cour, ou bien servir des dames de la cour… Elle ne les connût donc point longtemps. Les deux seules personnes qu’elle avait l’occasion de voir étaient son père, sa mère, et un de ses frères qu’elle appréciait assez et qui restait à l’aide de ses « parents ».
  
  Pierre Vernelier était son père. Rosalie était fortement attachée à lui. Elle vivait avec lui dans la joie et la bonne humeur. Toujours. Elle apprenait beaucoup de choses avec lui, comme l’équitation – elle adorait ce loisir – l’escrime – celui-ci, un peu moins – la natation – elle se baignait dans le lac d’à côté - … Son père avait beaucoup de plaisir à le lui apprendre ces loisirs.
  
  Jusqu’au jour où la joie d’apprendre ces loisirs partit peu à peu, comme les apprendre tout court. Un jour, son père divorça avec sa mère. Ce fit un terrible choc pour les membres de la famille, car, dans la religion catholique, il était défendu de divorcer. Ils eurent bien sûr l’autorisation du Roi pour faire un tel acte. Il avait été compliqué de convaincre le Roi. Mais les raisons pour laquelle il fallait absolument engager le divorce prouvèrent que le Roi accepta. Ils divorcèrent donc.
  
  Mr Vernelier voulut garder ses enfants – c’était une des raisons pour laquelle il voulait divorcer, mais il y en eut d’autres plus importantes que celle-ci. Il les garda donc, puis « vira » sa précédente femme de sa maison. Rosalie ne l’avait guère bien connue. Elle était nommée Louisa, c’était tout ce qu’elle savait. Louisa n’était pas souvent présente dans la vie familiale, dans les activités, à la grande déception de son père. Mais quand elle était là, ce n’était que pour rétablir de l’ordre dans la maison, donc ce n’était pas la joie. Plutôt l’enfer comme dirait Bertrand.
  
  Tenez, parlons de Bertrand. Le seul frère qui était resté dans la famille. Rosalie l’aimait beaucoup, et lui l’aimait beaucoup également. Elle et lui participaient aux activités que leur père leur enseignait. Ils jouaient beaucoup aux jeux de cartes et aux échecs. Lorsqu’ils recevaient leur cousin, ce fut de même.
  
  Le cousin de Rosalie intimidait celle-ci. Il était âgé de treize ans, à peine. Lui s’entendait parfaitement avec Pierre et Bertrand. Ah oui, il se nommait Simon. Simon des Combres. Nom duquel il tient de son père à lui.
  
  C’était tout de ce que l’on pouvait dire de la famille de Rosalie. Et elle commençait à lui manquer.