1er petit déjeuner

Eléonore rentra à son tour

"le repas est-il près et servi?"

-Allons nous assoirent .

Charlotte s'assis .

"Non, c' est mademoiselle Violette qui nous sert.Comment vous appelez-vous ?D' où venez-vous?Ah,au fait,pendant le repas,il ne faudra pas parler."

Eléonore s'assit près de Margherite.

"Est-ce moi que vous intéroger?je m'appelle Eléonore de Caubagnac"

Eléonore envoi un sourire crispé à son amie

"Charlotte?je déteste les pruneaux que nous sommes dans l'obligation de manger,que dois-je faire?"

"Mettez-les dans votre bouche et partez ensuite dans les jardins où vous les recracherez.Moi,c' est ce que je fais."

Hortense s'assis aussi à côté de Margherite.

-Cela ne vous dérange pas si je me met là ?
Pour les pruneaux vous pouvez demander à Mlle Violette, c'est moins risqué ! dit-elle à Eléonore.

*Je meurs de faim !*

j'ai déjà demander a mademoiselle Violette,tant pis,je les mange!quitte a avoir une digestion

"Alors,si vous le faites,je vais le faire.Je n' aime pas non plus."

Eléonore avale avec courage:
"C'est fait,j'en suis toute fière!"

Margherite fit de même.
"Voulez-vous venir avec moi dans les jardins ?"

Eleonore vacilla

Je ne me sent vraiment pas bien,les pruneaux m'ont mis l'estomac a l'envers.Je vais passer à l'infirmerie.

-Je vous laisse , je me rend a la biblihoteque .

Charlotte s'en alla .

Carmellita, qui marchait en direction des dortoirs pour écrire dans son journal le nouveau sentiment qu'elle venait d'apprendre, entendit son nom. Elle se retourna vers le réfectoire.Oui, il y avait bien quelqu'un qui l'aait appellée. Là, elle vit une institutrice qu'elle n'avait encore jamais vu----Mme de Maintenon, surement-se dit-elle qui discutait avec deux gardes assis à une table. Voyant la jeune fille rentrer dns le réfectoire, la dame se retira.Carmellita resta donc seule devant ces statues de plomb vivantes. Finalement, un garde se décida à parler:
-Vous êtes bien Mlle Carmellita?
-Oui, c'est bien moi.
-Nous vous apportons une lettre de Mme d'Amblard Las Mastres, votre mère
Carmellita se figea, et c'est en chambranlant que les gardes la forcèrent à s'asseoir et à lui faire boire un verre d'eau. Il est vrai que ce saut du petit-déjeuner l'avait rendue faible. Plein d'idées lui rôdaient dans la tête. Pourquoi portait-elle ce nom de famlle si étrange? Il est vrai que cela allait faire 10 ans qu'elle n'avait pas vu sa mère, et elle se demandait pourquoi celle-ci lui avait envoyé une lettre MAINTENANT? Finalement, sous le regard attentif des gardes, elle décida de lire sa lettre.:

Chère Carmellita,




Je suis Mme d'Amblard Las Mastres, votre mère voila 11 ans que je ne vous ai point vu et, voyez, vous, depuis mon départ, je vis une toute autre aventure.




J'étais triste quand je pensais à vous, mais je voulais oublier mon ancien domaine et votre père, voila pourquoi je n'ai point écris.J'ai pourtant fait une recherche sur vous, et c'est pourquoi qu'il y a quelques jours j'ai été surprise d'apprendre que voys étiez ici, à St-Cyr, ou vous lisez la lettre présentement.




C'est pourquoi ce jourd'hui, j'ai décidé de vous inviter dans mon château ou je vis actuellement avec mon mari et....quelqu'un d'autre que vous verrez le jour venu...Si vous acceptez, mon carosse vous amènera à Yvelines le 4 juillet et vous rapportera le 19. Ne faites pas vos valises, car il y a une multitudes de surprises qui vous attendent au château d'Amblard. Je vous attendrai avec impatience, ainsi que Jean, mon époux.




Affectueusement,



Votre mère qui vous attend.




Après la lecture, Carmellita ne savait que faire. Ainsi, sa mère avait un mari! Et, une surprise.....Comme un automate de la grotte animée qu'il y avait dans le jardin de la Cour (à Fontainebleau ou à St-Germain), Carmellita dit oui aux gardes et voulu leurs poser toutes les questions qu'elle avait en tête, mais, le deuxième garde, lisant dans ses pensées, dit:

-Désolé, mais nous n'en savons pas plus que vous.



Et ils partirent. Carmellita resta seule à penser durant plusieurs minutes avant de parir encore facillante sur ses jambes, vers les dortoirs.

Hortense qui passait par là vit Carmellita :

-Vous n'avez pas l'air d'aller très bien, vous n'allez pas vous évanouir tout de même ?

-Non, merci, je pense que je vais aller me reposer dans les dortoirs...

m.p:j'y suis déja.

Antoinette arriva au réfectoire. Elle s'assit, attendant que Melle Violette les serve.
*J'ai très faim*

Violette entra et aller donner l'ordre de prendre le petit déjeuner seule, maintenant quand un homme d'une cinquantaine d'années lui apporta une lettre. Elle l'ouvrit et tomba sur le texte suivant.

Ma chère cousine,

Le temps a passé depuis notre dernière rencontre,, il y a plus de 5 ans déjà. A cette époque, tu m'avais demandé de te laisser à ta vie de maîtresse à St-Cyr. Néanmoins, je requiert ta présence ici, rapidement. Tu ne saurais nous faire attendre.

Un carosse t'amènera directement au chateau de nos aîeux.

Ton Cousin, Jules-Marie de Fresange.



Violette se leva, pâle et regarda ses élèves avant de dire.

-Veuillez excuser mon absence, je dois partir.

Elle sortit donc.