Dortoir des Jaunes

Carmellita., qui faisait pour de vrai à semblant de dormir car elle ne voulait que la paix, se dit:
* et bien, tout le monde part....*

Eléonore entra,une novice l'attendait.
-Mademoiselle enfin!Cela fait une demi-heure passée que je vous ghette,une lettre de votre famille est arrivé.
-Merci,répondit la Colombe sans conviction.
Ella la tendit.
Eléonore hésita à l'ouvrir,elle était dépassé par les évenements ces temps ci.Elle se contenta de la mettre dans sa table de chevet et partit à la recherche de ses amies,leur demander conseil.

Eléonore,après avoir écouté avec plaisir Hortense,lui parla de la lettre qu'elle n'avait pint ouverte encore.

-Ouvrez-là, si c'est une mauvaise nouvelle nous serons là pour vous soutenir. Et si c'est une bonne nouvelle, nous serons là pour la partager avec vous !

Eléonore sourit:
-Merci Hortense,c'est toujours avec vous que j'ai ouvert les lettres qui me faisait peur!
Elle comença à la décachetée.

de Pauline de Caubagnac à sa fille Eléonore
le 2 juillet
mon enfant,
La vie à été cruelle avec nous,j'ai deux nouvelles à t'apprendre dont une n'est point réjouissante.
Commençons par les fait heureux:ton frère Alexandre va se marier.Je voudrais que tu vienne assistéer à son mariage naturellement mais ce n'ai pour la raison pour que je te mande à Toulouse:
Il y'a une semaine passée ta soeur Hélène à vécut quelque chose,un malheur dont nous ne savons pas les raisons ni ce qui c'est passé.Depuis cette instant elle ne veut plus parler et à perdu sa joie de vivre.C'est toujours avec toi qu'elle s'est le mieu entendu surment arrivera-tu à la faire parler.Je t'en pris viens.
Je t'aime.
ta despérée mère.
Eléonore faillit tomber en pamoison mais se reprit à temps.Elle versa quelques larmes puis reprit la tète haute:elle serait forte cette fois.

Beatrix arriva:
-Y'aurait-il un problème?

"Que se passe-t-il Eléonore ?"
Elle vit une novice.
"Bonjour,que faite vous là ?
_Mme de Maintenon veut voir Melle Margherite de Millena dans son bureau.
_Je suis Margherite de Millena.
_Alors,suivez-moi."
Margherite la suivit.

Hortense se demandait ce que contenait la lettre, et pourquoi Madame avait-elle appelé Margherite ? Elle sortit son mouchoir et sécha les larmes d'Eléonore.

-C'est une mauvaise nouvelle apparement. Nous pouvons vous aider ?

Margherite revint.
"Excuser moi mais c' était pour m' annoncer que quelqu' un est venu demandé ma main et qu' elle a dit oui et que je me marirai avec lui à 20 ans.Que se passe-t-il Eléonore ?"

-Et ce quelqu'un c'est votre gentilhomme ?

"Oui."
Elle se met à danser,danser.
"Je suis heureuse,lalalala,je suis heureuse."

-J'en suis ravie pour vous ! Mais je ne vais pas tarder à devoir vous quitter, j'entand un carrosse dans la cour !

Effectivement, dans la cour le carosse royal était là et un serviteur arriva : "Mlle de la Virenelle ?

-Oui c'est moi ! Je fini mes valises !

"Vous n'avez pas besoin de valises, il y a tout ce qu'il faut au palais !" lui dit-il avec un air éberlué.

-Mais je n'habite pas à Versailles !

"Le Roi ne vous a rien dit ? Dans ces cas-là, je n'en dirais pas plus", lui répondit-il avec force courbettes, comme si Hortense était très noble.
Elle embrassa toutes les filles présentes dans la pièce et partit, encadrée de 3 gardes.

Margherite lui fit signe à la fenêtre.Elle est très étonnée.Quand elle est arrivée,un garde la protégeait
*Il y a un mystére là-dessous.*

Eléonore s'approcha de la fenètre et fit un triste aurevoir à Hortense,elle s'adressa à Margherite:
-Mon frère se marit,ma soeur et mourante je part dans quelques jours.
Les larmes trop longtemps contenu coulèrent sur ses joues,la tristesse de savoir sa soeur bléssé,le cauchemar d'ètre seule à Toulouse sans l'appui de ses amies.Elle se retourna une nouvelle fois par la fenètre ou Hortense venait de s'éloiogner.

"Quel jour devait vous partir ?"

-Je ne sais,une semaine et tout au plus,dit elle frébilement.

"-Déja...Je suis fatiguée, je vais faire une sieste."

-Moi aussi, ces évenements m'on bouleversés. Lisez ma lettre et vous me comprendrez.

Eléonore la tendit à Margherite:

-Vous avez lu? Je vais finalement faire une promenade dans le jardin.
Eléonore s'en retourna vers le parc.